Première semaine, Paros ...

Publié le par Polosub

PAROS : "la tendance" ...

Paros est effectivement l'une des îles des Cyclades les plus courtisée actuellement, ce que l'on comprend aisément lorsqu'on visite ses petits villages pleins de charmes et ses plages magnifiques. Revers de la médaille, l'urbanisation touristique progresse (trop) vite et le stationnement en camping-car devient compliqué.





Les couleurs "classiques" des îles grecques : un mélange de blanc et de bleu, égayé par le fuschia des lauriers roses et des bougainvilliers.





Les premières apnées sont consacrées aux retrouvailles avec la faune méditerranéenne. Canon G10 en main et son caisson. On reconnait un serran écriture à gauche et une girelle paon à droite.

La photo sous-marine est grandement facilitée par les 20 m de visi en moyenne qui baignent les côtes grecques. L'eau n'est par contre pas si chaude et il n'est pas rare de la trouver autour de 21/22°C au fond. Evidemment pour un breton du nord, c'est bouillant ... Mais compte tenu de la latitude, on pourrait s'attendre à plus. Le vent omniprésent (vent du Nord en général, le fameux "meltem") chasse régulièrement la couche d'eau chaude et il m'est arrivé de voir 16°C en plein été sur le themomètre de ma montre en Crète ...




Première sortie sur les cyclades, 2 jolis sars pour le barbec'. Ravi des premiers essais de ma combi extrêmement souple et chaude.


Il faut l'admettre, malgré tous ses atouts (nous en sommes tombés amoureux puisque nous y retournions pour la 4ème année consécutive), la Grèce n'est pas très poissonneuse. Pour preuve, si vous voulez goûter du poisson au restaurant, vous devrez le payer au kilo et il vous en coûtera parfois 70 euros le kilo pour du sar ... ça laisse songeur les pêcheurs qui trainent dans le sud Bretagne ...


Par ailleurs, les poissons intéressants sont souvent assez profonds (voir les articles suivants), mais les petits fonds ne sont pas à négliger, surtout tôt le matin. pour exemple, ces 2 sars ont été pris sur la côte abritée dans une petite dizaine de mètres de fonds.

 

En cherchant bien, il est toujours possible de trouver des petites plages peu fréquentées, au bord desquelles on peut dormir et profiter de l'ombre des tamaris.


.../... A suivre

Publié dans Actualité

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